LE GRAND MEAULNES de Alain Fournier

Ma fille est en troisième, et a dû lire le grand Meaulnes d’Alain fournier, car ils apprennent les oeuvres autobiographiques.

LE GRAND MEAULNES

Personnages

Augustin Meaulnes: nouvel élève dans la classe de M.Seurel. Surnommé le Grand Meaulnes par ses camarades. Aventurier, fidèle en amitié, il découvre l’amour. L’histoire raconte son passage d’adolescent à l’âge adulte.

François Seurel: fils et élève de l’instituteur. C’est le narrateur et confident d’Augustin Meaulnes, c’est son histoire qu’il raconte.

Yvonne de Galais: Jeune Châtelaine, fiancée, épouse et mère dévouée, elle suscite un amour absolu à l’homme qu’elle aime.

Valentine Blondeau: Apparaît peu dans le roman, jeune couturière. Brune vêtue de noir. Elle est le symbole de la femme charnelle et réaliste.

Frantz de Galais: Frère D’Yvonne. Jeune homme dont les réactions sont puérils.

Personnages secondaires

Monsieur et madame Seurel: Parents de François Seurel le narrateur, ils sont instituteurs à l’école Sainte-Agathe.

Monsieur de Galais: Père de Frantz et Yvonne.

Madame Meaulnes : Au début du roman, elle admire son fils, elle est sure d’elle, mais à la fin elle apparait vieillie, triste, et lasse.

Jasmin Delouche: Élève de Mr Seurel, grossier et jaloux d’Augustin Meaulnes.

L’oncle Florentin et la tante Moinel: L’oncle est commerçant dans une sorte de bazard. La tante considère son neveu françois Seurel comme un enfant.

PREMIÈRE PARTIE

I.Le pensionnaire

François Seurel arrive avec ces parents dans une le bâtiment du Cours Supérieur de Sainte-Agathe, un dimanche de 189..
M.Seurel était instituteur et était nommé comme cela par les élèves, mais aussi son fils. Il enseignait le Cours Supérieur et le Cours Moyen (qui prépare au certificat d’études primaire). Sa mère faisait la petite classe.
Sa mère qu’ils appelaient Millie, organisé l’emménagement des meubles dans la grande bâtisse, et s’inquiétait, de la place du mobilier. Il y a des grands champs de pêcher, le champ du père Martin avec ces trois noyers. C’est un paysage paisible.

Dix ans plus tard, Meaulnes arrive dans ce pays. Les dimanches d’hiver, Mr Seurel partait pêcher le brochet dans une barque, sa femme s’enfermait dans leur chambre pour rafistoler des toilettes. Le matin c’était la messe, en fin d’après midi François Seurel assistait aux vêpres (office religieux). En rentrant chez lui, il vit une dame au cheveux gris qui regardait par la fenêtre. C’était la mère d’Augustin Meaulnes, qui venait l’inscrire au cours supérieur en pensionnat. À l’époque, ceux qui suivaient les cours supérieur étaient souvent mis en pension. François Seurel et sa mère accueillirent la dame, qui ne tarit pas d’éloge sur son fils, bien élevé et intelligent, il avait perdu son frère noyé dans un lac.

Augustin demanda à François de l’accompagner dehors, il avait trouvé dans son grenier, une petite roue en bois et un cordon de fusée qui devait resté du 14 juillet. Augustin les alluma au moment où leurs mères sortaient.
Le soir, Augustin mangea avec la famille Seurel, dans le silence.

II. Après quatre Heures

Avant l’arrivé de Meaulnes, après 4h l’école était désertée. François avait une coxalgie, une maladie de la hanche qui l’empêchait de courir, il lisait dans le cabinet des Archives, il rentrait lorsqu’il faisait noir et regardait sa mère allumer le feu de la cuisine.

Meaulnes arriva début décembre, et après son arrivée, l’école ne fut plus désertée après 4h. Meaulnes silencieux écoutait ses camarades qui racontaient des maraudes (vol de légumes), François se joignait à eux. L’arrivée de ce nouvel ami coïncida avec la guérison de sa coxalgie et se fut le commencement d’une nouvelle vie. À la nuit tombante, Meaulnes entrainait le groupe dans le haut du bourg et François les suivait.

III. “Je fréquentais la boutique d’un vannier” (fabriquant d’objet en osier).

Il avait plut toute la journée et les élèves n’étaient pas sortie, Mr Seurel ne cessait de crier “Ne sabotez pas” (taper avec les sabots). La récréation se faisait en classe, et l’instituteur demanda à la classe qui souhaitait aller chercher avec son fils à la gare, M. et Mme Charpentier, les grand parents de l’auteur. Chaque année, ils venaient passer les fêtes de Noël avec eux, ils apportaient des victuailles, des châtaignes, par le train de 4h2
François aurait voulu que se soit Meaulnes, comme certain de la classe, mais son père désigna Moucheboeuf pour l’accompagner.

Après l’école, coffin, Meaulnes et François s’étaient réfugié chez le maréchal Ferrand qui leur demanda quelle voiture ils prendraient pour chercher ses grands parents, François répondit celle du père Martin, ce qui le fit rire lui et son employé, la jument du père Martin n’était pas rapide, alors que celle de Fromentin l’était.

Au moment de partir, François aperçu Meaulnes réfléchissant à ce qui s’était dit et cela lui rappela l’image de Robinson Crusoe où l’on voit l’adolescent anglais avant son grand départ “fréquentant la boutique d’un vannier”.

IV L’évasion

Pendant que M.Seurel fait classe, François s’aperçoit de l’absence d’Augustin qu’il soupçonne d’être allé attelé les chevaux.
Peu de temps après, il voit à la fenêtre, la voiture attelée conduit par Augustin Meaulnes.
Un homme en blouse bleu fait son entrée dans la classe pour demander si l’élève avait une autorisation. La classe est dans un désarroi effroyable; M. Seurel dit à son fils qu’il ira quand même avec Moucheboeuf chercher ses grands parents, car Augustin ne sait pas où se trouve la gare et qu’il risque de se perdre.

V La voiture qui revient

Moucheboeuf et François avaient ramené les grands parents à la maison, mais il n’y avait pas de trace d’Augustin. Le soir après le repas, les grands parents racontèrent ce qui leur étaient arrivée depuis les dernières vacances. François cependant attendait impatiemment l’arrivée de son ami, au moindre bruit extérieur il espérait le voir rentrer.

Lorsque le bruit de deux voitures arriva devant la maison, le père de François alla ouvrir, et un homme expliqua qu’il avait trouvé la voiture de Fromentin, seule sans conducteur. Il leur laissa la voiture car il avait perdu trop de temps à la ramener.
Le père de François la ramena à son propriétaire.

Les Seurel donnèrent comme explications aux grands parents et gens du village qu’Augustin était rentré chez lui, et décidèrent d’attendre encore un peu avant d’écrire à sa mère. Cela dura trois grands jours.

VI  On frappe au carreau

Le quatrième jour, pendant que Mr Seurel faisait la dictée, un coup brusque au carreau  détourna leur attention, c’était le grand Meaulnes, frigorifié, fatigué et affamé. Il ne dit juste “Je suis rentré, Monsieur” et il alla s’assoir. Fatigué de son voyage il demanda à aller dormir et il y alla.

L’après midi, lorsqu’il revint en classe avant les cours, il pris l’atlas et l’observa. Jasmin Delouche, jaloux d’Augustin qui avait pris sa place auprès de ses camarades depuis son arrivée, entra avec ces acolytes et fit du bruit. Augustin qui souhaitait du calme, énervé se battit avec lui et sa bande mais M.Seurel arriva à temps, tous allèrent s’assoir. Jasmin s’exclamant qu’il faisait le malin.
Augustin lui ne savait pas où il avait été allé pendant ces trois jours, dans le froid et la neige.

 

VII Le gilet de soie

Depuis son retour, Augustin est préoccupé, la nuit il fait les 100 pas dans la chambre, et la journée il observe un Atlas. Il cherche un chemin, une route et n’arrive pas à la trouver. Il ne reste plus avec ces camarades qui se sont ligués contre lui, il reste assis sur devant son atlas pendant des heures.

Un soir il fait la promesse à François qu’il l’amènera lorsqu’il partira sur ce chemin. François a compris qu’il avait rencontré une fille. Il le défend face aux autres enfants qui le hue.

Un soir, à minuit, Augustin réveille François, pour partir, François lui propose de partir en journée, et si le chemin est loin d’y aller en été.

 

VIII L’aventure

Cette nuit là, Augustin lui raconta un peu ce qu’il lui était arrivé. À 13h30, il était parti, bien décider à chercher les grands parents Charpentier à la gare, et faire la surprise à tout le monde. Il faisait très froid, heureusement les hommes de la Belle Étoile avaient laissé une couverture. Sur la route de Vierzon à un moment il y eut une intersection et il choisit le mauvais chemin, il s’endormit et le froid le réveilla. Le cheval boitait, un caillou était entré dans le sabot du cheval, Il s’arrêta pour lui enlever mais lorsqu’il eut terminé la nuit tombait. Au lieu de rebrousser chemin, car il ne savait quel chemin le cheval avait pris pendant son sommeil, il continua se disant que ce chemin arriverait bien à un village. Il pensait au salon où se trouvait surement toute la famille au coin du feu.

IX Une Halte

Sur le chemin, il arriva près d’une maison où le feu crépitait, une vieille dame lui ouvrit et il raconta qu’il était chasseur et que sa voiture c’était éloigné des autres chasseurs. Le couple de personnes âgées insistât pour qu’il reste dormir. Ils lui apprirent qu’ils étaient à 5km des Landes et le Vieux Nançay à trois lieu et demi.

X La Bergerie

Il quitta ses hôtes et parti là où il avait laissé la voiture et le cheval, mais il ne les trouva pas, il courra à travers champs, mais il n’y avait rien. Il se résolut à continuer le chemin en courant, les herbes l’égratignaient, il se protégeait le visage. Après plusieurs heures, il tomba sur une bergerie, alla s’y coucher avec pour seule protection contre le froid, sa blouse. Il crut rêver à un moment où il vit une fille coudre, près d’une fenêtre, il se rendormit.

XI Le domaine mystérieux 

Au jour suivant, il se mit à marcher, le genoux enflé lui faisait mal, il vit une bergère, l’appela, mais elle ne l’entendit pas et continua son chemin. Il se demander s’il devait rebrousser chemin, mais il vit sur le chemin des traces de plusieurs pas, comme lors des fêtes de son village, il se cacha sur le côté près de jeunes sapin. 
Il vit passer une troupe d’enfants, n’osant pas les aborder pour ne pas les effrayer. Il prit le même chemin qu’ils avaient emprunté et arriva à un domaine, où passant de voiture en voiture et de char en char, arriva à une fenêtre qui donnait sur une chambre à couché où était entreposé plein d’objet de prix (livres d’or,..), de costumes, chaussures, … , c’est dans cette pièce qu’il s’endormit fatigué, après avoir fermé la fenêtre, et dans le froid. 

XII La chambre de Wellington

Le lendemain, il se réveilla transi de froid, la fenêtre avait été ouverte. Deux hommes arrivèrent dans la chambre, et parlèrent ensemble, d’un certains Wellington, de voyage en roulotte, .. l’un semblait être le patron, l’autre comédien et ce dernier se demandait comment “ils” avaient put les embaucher. Le patron était gros, nus tête, habillé d’un paletot, et le comédien était grand, maigre yeux glauques et louches, moustachu et édenté . Lorsque leur conversation fut fini, ils allèrent pour sortir et le comédiens demanda à l’Endormi (Meaulne) de s’habiller en marquis et de descendre à la fête pour faire plaisir à ces messieurs et ces petites demoiselles. Leur camarade Maloyau en cuisine présentera le personnage d’Arlequin et lui du grand Pierrot. 

XIII La fête étrange

Meaulne s’habilla avec un manteau qu’il trouva et de chaussure vernis puis descendit. Il observait le bâtiment dans lequel il était et regardait à l’extérieur au loin des enfants (15 ans) qui jouaient. Un enfant de son âge sorti du bâtiment , il le suivit . Les personnes étaient bien habillées, il vit deux jeunes enfants et lui demanda où il pouvait manger, les enfants parlaient de la fiancé de Frantz tout en le guidant vers la salle où se trouvait des tables sur tréteaux et où toutes sortes de personnes mangeaient.

XIV La fête étrange (suite)

Il s’installa à une table, près de deux vieilles, et il mangea, tout en les écoutant parler. Elles parlaient du mariage de Frantz et de sa venue, il était parti chercher sa fiancé que personne n’avait encore vu, et devait revenir demain dans la journée. Le jeune marié pour faire honneur à sa fiancé voulait que l’endroit ait l’air de faire la fête, donc il avait invité les familles de paysans du coin.
Le grand Meaulnes après avoir mangé, suivit Pierrot et arriva à une salle à manger où jouait au piano, une fille. Il prit un livre et s’assit, et deux trois enfants arrivèrent sur lui, il imagina qu’il était propriétaire des lieux, et que la personne qui jouait était sa femme.

XV LA RENCONTRE

Le lendemain, il faisait beau, il était l’un des premiers à se réveiller, il s’habilla d’un costume noir et d’un chapeau haut de forme. Il sortit et fit le tour du domaine, pris son petit déjeuné, il était seul. Il était prévu une promenade en bateau et il alla à l’embarcadère où il vit deux femmes, une jeune et une plus âgées. La jeune il s’en souviendrait encore longtemps. Ils furent ensemble sur le même bateaux et ne se quittaient pas du regard, à un moment son visage près du sien laissa même un peu de poudre sur sa joue. Par la suite, sortant du bateau, machinalement, il s’avança à sa hauteur et lui dit qu’elle était belle, la fille hâta le pas et partit. Lorsqu’elle réapparut à côté de lui, il s’excusa, elle accepta ses excuses, ils parlèrent longtemps et timidement, elle s’appelait Yvonne de Galais, mais elle finit la conversation en lui demandant d’en rester là, un peu inquiète, de la tournure que prenait cette relation. Augustin lui, la chercha tout le reste de la journée. Une course de poney eut lieu, puis la fin de journée arriva et les fiancés n’étaient toujours pas arrivé ce qui inquiéta tous les invités.

XVI Frantz de Galais

Alors qu’il était dans sa chambre en train de penser à Yvonne, il entendit du bruit dans la pièce d’à côté, c’était Frantz, qui semblait mal à l’aise, sa fiancé ne voulait pas de lui, elle était couturière, il était revenu sans elle, et faisait dire à Augustin de mettre un terme à cette fête. Cependant, les invités avaient pris la décision de s’en aller, ils avaient tous plié bagage, fini leur repas, et proposa à Meaulne de partir avec eux. Frantz, honteux, prit quelques affaires, laissa une lettre à Yvonnes et partit.

XVII La fête étrange (fin)

La nuit tombée et Meaulne fini par trouver quelqu’un pour le rapprocher de St Agathe. La nuit était glaciale. Il faillit s’endormir, là dehors, mais le chauffeur lui intima l’ordre de marcher, il n’avait que 6 km à parcourir.

DEUXIÈME PARTIE

Chapitre I Le grand jeu

Des mois passèrent, c’était fin février, les journées se finissaient à 17h et il faisait trop froid pour tenter l’aventure de retourner au domaine mystérieux retrouver la jeune fille. 
La classe était divisé en deux, plus aucun enfants ne parlaient à Meaulne.  Un soir, le boucher vint avertir Monsieur Seurel que deux grands guettaient et qu’il les a fait fuir vers l’école et les avaient suivit. Augustin proposa déterminé d’aller vérifier qu’ils étaient bien partit, François et son père le suivirent. 

Chapitre II

Les deux grands les attendaient et se mit à courir à leur vue, Mr Seurel et le Boucher ne purent les suivre, laissant les jeunes continuer leur courses poursuites. Ils coururent à travers le village, entrant dans des ruelles qu’ils connaissaient mal, pour finir dans une impasse où les attendaient un guet-apens. Delouche, Denis, Giraudat et tous les autres étaient là et les attendaient, Meaulne avait beau se défendre, les garçons revenaient à la charge, encouragé par un chef de bande, un bandage sur le côté du visage, qui leur avait sans doute appris à se battre, mais dont ni Meaulne, ni François ne semblaient connaître. Ils s’emparèrent du plan qu’Augustin avait fait pour retourner au domaine et s’en allèrent. 

Chapitre III Le bohémien à l’école

Le lendemain, les garçons arrivèrent à l’école et aperçurent un nouveau, un bohémien, le fameux chef de bande de la veille, il souriait d’un air narquois. En classe, il sortit des objets de curiosité (portes plumes, livres rares, petits monuments,…) sans doute volé pensait François, mais qui attira l’attention de toute la classe y compris l‘instituteur . Il raconta ses voyages, et l’instituteur lui demanda comment ils se nourrissaient, il répondit étonné de cette question “de ce que nous avons gagné l’automne précédent, Ganache règle les comptes”. Pour François, Ganache était le jeune qui avait attaqué par derrière Meaulne la veille. 

Chapitre IV Où il est question du Domaine mystérieux.

L’après midi, se passa comme le matin, le bohémien continuait de sortir des objets précieux, coquillages, chansons, jusqu’à un petit singe. Il attirait l’attention de toute la classe. 
Comme il était nouveau, il devait rester nettoyer avec Meaulne la salle de classe en fin de journée. Augustin et François avaient l’intention de lui faire un guet-apens pour récupérer le plan, cependant Meaulne changea d’avis, il voyait le bohémien tâchait de sang sur son bandage, et ses habits abîmés, il lui fit remarquer, et ému, le bohémien lui expliqua que la bande des garçons commandé par Jasmin Delouche, voyant qu’il allait leur rendre le plan, voulurent l’en empêcher en le cognant, d’où le sang qui coule sur son bandage au visage. Il avoua que sa blessure était une tentative de suicide, et leur demanda d’être ami et de promettre qu’ils seront toujours présent si un jour il lui reprend l’envie de se tirer une balle dans la tête. Il leur expliqua qu’il était aussi dans ce mystérieux domaine et qu’il avait complété le plan, mais qu’il ne se souvenait pas de comment y retourner. Que la jeune fille se trouvait à Paris. 

Chapitre V L’homme aux espadrilles 

La veuve Delouche, l’aubergiste, se fit attaquer ce soir là par un homme en espadrille, son fils et son beau frère Dumas, ne put l’attraper. Le lendemain à l’école, le bohémien qui avait perdu du sang dû à sa plaie ouverte par la bagarre de la veille, resta chez lui quelque jours, Augustin et François, attendaient devant chez lui, sans oser s’approcher, pour voir s’il allait mieux. 
Jasmin Delouche, avertit son père que Ganache, l’ami du bohémien, portait des espadrilles, ils allèrent avertir la police. 

Chapitre VI Une dispute dans la coulisse 

Trois jours plus tard, mars arriva et avec lui, les beaux jours de printemps. Meaulne souhaitait essayer l’itinéraire du bohémien, François lui préférait l’attendre. Entre midi et deux, Ganache annonça au village que le soir même ils établiront une une tente sur la place de l’église, pour faire leur représentation. Le soir, les institutrices, Mr Seurel et les enfants allèrent sous la tente, et se placèrent en bas des gradins. 
Au moment de l’entracte, le bohémien vint discuter avec Mr Seurel, puis au moment de partir, il entendit Jasmin Delouche parler avec Mme Pignot, il rejoignit alors son compagnon avec lequel il se disputa. Les spectateurs prêtaient l’oreille, mais n’entendaient que quelques bribes. 

Chapitre VII Le bohémien enlève son bandeau

Après l’entracte, le spectacle repris, le bohémien faisait un clown, il ôta pendant le spectacle son bandage, et Augustin le reconnut, c’était Frantz, le frère d’Yvonne. Il fit exprès de retirer son masque pour être reconnu de ses amis. 

Chapitre VIII Les gendarmes

Lorsque Meaulne et François revinrent sur la place de l’église le lendemain, la roulotte et ses occupants avaient disparu, Frantz avant de partir, avait montré son visage à ses amis. Jasmin avait dénoncé Ganache aux gendarmes, mais ils avaient eut le temps de partir. Augustin en était triste. 

Chapitre IX À la recherche du sentier perdu

Le même jour, ils arrivèrent à l’école et ne virent personne, mis à part Moucheboeuf qui arrivé triomphant annonça que les autres élèves étaient aux bois des communaux avec en tête Jasmin Delouche, narguant les deux garçons et Mr Seurel, qui décidèrent de partir à la recherche des écoliers buissonniers. 
Augustin qui avait bien étudié le plan et pensait n’être pas loin du domaine mystérieux, profita de cette excursion pour rechercher le sentier qui mènerait à ce lieu. 
Mr Seurel et Moucheboeuf cherchèrent dans la forêt et François chercha à la lisière. Il arriva jusqu’à la maison des Baladier, puis attendit l’appeau de son père et son élève. Les enfants avaient été retrouvé, certains s’étaient échappé à l’arrivé de l’instituteur, d’autre dénichaient des nids de pic-vert, d’autre encore grimpaient les arbres. 
Lorsqu’ils revinrent à midi à l’école, le grand Meaulnes les attendaient, il expliqua à tous qu’il avait cherché les écoliers, mais à François il confia qu’il n’avait pas trouver le chemin. 

Chapitre X La Lessive

Il se mit à pleuvoir toute la semaine, Milie fit la lessive qu’elle étendit dans la salle de classe et c’est là que la famille et Augustin passèrent la journée du jeudi. Le grand Meaulnes avertit Mr Seurel qu’il partait dimanche et continuerait ses études sur Paris, sa mère viendrait le récupérer. François était triste, il lui demanda de lui écrire, il savait qu’il partait sur Paris pour être plus près de la fille qu’il avait rencontré et qu’il ne le reverrait peut être jamais.

Chapitre XI Je trahis…

Meaulnes Partit, François se sent libéré de cette aventure. Ses camarades de classe, Jasmin Delouche et les autres, viennent le chercher pour aller chez la veuve Delouche, où ils burent et mangèrent des biscuits. Il se sent à l’aise, assez à l’aise pour raconter l’histoire de Meaulnes, les autres ne semblent pas étonnés, c’est une noce comme il s’en fait ailleurs. La veuve revient, et les enfants partent à toute vitesse, ils étaient là en voleur de gâteaux et liqueur , François est déçu et se sent malheureux d’avoir trahi Meaulnes. 

Le soir, il rentra chez lui , le poêle dans l’école toujours allumé et la lessive toujours étendu, la table ne fut pas mise et sa famille et lui mangèrent sur leur genoux. 

Chapitre XII Les trois lettres de Meaulnes

François ne reçut de doute sa vie, seulement trois lettres de Meaulnes, la première était deux jours après son départ, pour raconter à son ami qu’il restait chaque soir devant l’hôtel particulier d’Yvonnes et qu’il attendait qu’elle arrive et qu’une femme attendait aussi assise sur un banc. La deuxième en juin, lui expliquait qu’elle ne reviendrait pas, voyant la dame attendre chaque soir avec lui, ils parlèrent et elle lui dit qu’avant une jeune fille et son frère venaient ici, mais que son frère s’était enfuit et la fille c’était alors mariée. Meaulnes est malheureux, l’aventure est fini. François voit cette lettre comme une rupture avec lui, et avec le passer, il ne fait aucune confidence. L’aventure fini, le lien avec François n’existe plus.
François lui écrivit, mais il eut juste une félicitation pour son brevet. 
La troisième arriva fin novembre, Augustin raconte qu’il continue d’attendre devant cette maison et qu’il se met à imaginer qu’Yvonne viendrait le chercher et qu’ils iraient ensemble au chaud. Mais il sait que cela est impossible, donc il demande à François de l’oublier, et tout oublier de cette aventure. 

TROISIÈME PARTIE

Chapitre I La baignade

François a maintenant 20 ans et ses amis sont Jasmin Delouche , Boujardon, et Denis le fils de l’adjoint. Leurs passe temps sont comme tous les passes temps de jeunes de leur âge, se mettre de l’eau sucré sur les cheveux pour les frisés, embrasser les filles dans les chemins, et crier à la cornette. Les garçons sont attiré par Gilberte Poquelin. Tous continus les cours supérieurs et ont toujours Mr Seurel comme professeur. 
En été, ils se baignaient dans le Cher, ils y allaient à pied, ou en charette avec l’âne de Dumas qu’il prêtait à Jasmin, sa mère donnait une bouteille de limonade pour cette occasion. 
Un jour en rentrant d’une baignade, Jasmin raconta qu’il avait visité un domaine “La sablonnière” vers le Vieux Nançay, un domaine où il ne restait plus qu’un retraité ruiné et sa fille, et dont il ne restait de cet endroit qu’une maison de plaisance et la ferme. Il se tourna vers François et lui dit que c’était l’endroit mystérieux du grand Meaulnes

Chapitre II Chez Florentin

Pendant les vacances, fin septembre, François, son père et sa mère, partirent au Vieux Nançay la commune où se trouvait la Sablonnière, visiter la famille de Mr Seurel, Florentin un commerçant. François aimait y passer les vacances avec ces cousins et cousines, mais il était plus pressé d’y aller cette année, car il savait que la fin de cette aventure se trouvait entre ses mains. 

Un jour il raconta à son oncle, sa tante et ses cousines, qu’il avait un ami qui pourrait être le prétendant de Melle Galais, qui elle même venait souvent faire ses courses dans leur commerce. Un jour il l’a vit venir au commerce, la plus belle femme qu’il n’ait jamais vu, elle le savait futur instituteur et lui parla de son désir d’être institutrice, du fait qu’elle apprendrait aux enfants à trouver leur bonheur ici et non en partant à travers le monde… Avec l’aide de sa famille, François avertit Melle Galais qu’il connaissait Meaulnes, dont elle se souvenait très bien, et son oncle lui proposa de se retrouver la semaine prochaine tous ensemble avec les cousins, cousines, Mr Galais, Mlle Galais,  au bord du Cher, et François viendrait avec Meaulne.
Il partit à  vélo à la Ferté D’Angilon où vivait Meaulnes pour le prévenir. 

Chapitre III Une apparition

Il arriva à la Ferté d’Angilon et dormi chez sa grande tante Moinel, qui lui raconta avant qu’il ne s’endorme, qu’un jour elle alla aux Noces de la Sablonnière, et qu’en partant un soir, elle et son mari tomba sur un jeune qu’ils prirent d’abord pour un jeune homme, mais ce n’en était rien, c’était une jeune fille, qui s’évanouit en entrant dans la voiture. C’était la fiancé de Frantz, qui n’avait pas voulu l’épouser car elle pensait que tant de bonheur était impossible, que Frantz était trop jeune pour elle et tout ce qu’il lui décrivait devait être imaginaire. Frantz se promenait avec elle et sa soeur à Bourge, et elle prétexta aller chercher un fichu, puis s’échappa en s’habillant en homme et pris la route de Paris. Elle envoya une lettre à son fiancé pour lui dire qu’elle rejoignait un jeune homme qu’elle aimait. Le jeune homme se serait tiré une balle, ils ont vu le sang dans les bois mais n’ont jamais retrouvé le corps. 
La fille resta chez les moinel une parti de l’hiver et leur servirent de bonne à tout faire , couture, ménage, arrangeait des chapeaux, taillait et tous les soirs après sont travail, elle allait dehors, même s’il faisait froid et elle pleurait. 
En mars, elle continua son chemin vers Paris, Moinel la déposa à la gare, et lui donna un peu d’argent. Elle est devenu couturière sur Paris. Elle leur écrit encore pour leur demander des nouvelles des Sablonnières, la Grand Tante de François, pour lui sortir cette idée en tête, lui raconta que le jeune homme c’était enfuit, et la fille c’était marié, le domaine avait été vendu. 

Chapitre IV La grande nouvelle

Lorsque François arriva chez Meaulne le lendemain, sa mère préparait ses bagages. François alla le rejoindre à la mairie où il signait un papier et son ami fut étonné de le voir ici. François lui raconta toute l’aventure et l’envie de Mlle Galais de le revoir, mais Augustin n’était pas enthousiasmé, il accepta cependant de venir à cette rencontre, mais dit à sa mère le soir à part que le voyage n’était que retardé. 

Chapitre V La partie de plaisir

Au retour, sur la route du Vieux Nançay, François avait bien du mal à suivre Augustin qui roulait vite, il était impatient, et arrivé chez la famille de François, il était tout aussi impatient. Le lendemain vers 10h , ils partirent à la ferme des Aubiers, où devait avoir lieu la rencontre. L’oncle de François avait pris soin d’inviter des riche et des pauvres, c’est ainsi qu’ils virent arriver Jasmin Delouche, dont Augustin lui en voulait toujours de ne pas les avoir prévenus qu’Yvonne n’avait jamais quitté le coin, et qui l’avait fait partir sur Paris. Arrivé à la ferme, les invités s’installèrent sur l’herbe, l’oncle installa des tables et des provisions. 
François et Augustin allèrent à l’entrée du chemin, près du pont pour guetter les derniers arrivants, mais Meaulne impatient et par peur qu’en restant là elle ne vienne pas, rejoignit les autres. 
Peu de temps après elle arriva sur son vieux cheval Belisaire, avec son père à ses côtés, elle avoua à François qu’elle préférait que se soit lui qui l’accueille car le cheval était vieux et laid et qu’elle en avait honte. 
Ils rejoignirent les invités et tous la regardèrent, on lui présenta les jeunes filles et jeune gens puis arriva le groupe où se trouvait Augustin, et elle s’avança directement vers lui en lui disant qu’elle l’avait reconnu et lui tendit la main.

Chapitre VI La partie de plaisir (fin)

Augustin et Yvonne ne se parlèrent presque pas de la journée. En fin de soirée, elle s’approcha du groupe où Meaulne, François et Delouche se trouvaient, et leur demandèrent pourquoi ils ne canotaient pas sur le lac. Ils lui dirent qu’il était fatiguant de canoté, et Augustin lui dit qu’il vaudrait mieux un bateau à vapeur comme elle avait autrefois, mais avec gêne elle lui dit qu’ils l’avaient vendu. Delouche partit rejoindre Mr Galais avec qui il avait sympathisé, Mr Galais l’appréciait. François n’osa pas quitter le couple qui était gêné et anxieux l’un face à l’autre. Meaulnes têtu en revenait toujours aux beautés et objets précieux qu’il avait vu à cette époque, et Yvonne lui répétait sans cesse que tout avait été vendu ou détruit, qu’il ne restait aujourd’hui que ruine, il en était désolé. Yvonne lui expliqua que tout a disparu le soir où Frantz était parti, ce dernier avait contracté des dettes, et quand il est parti, ses camarades ont réclamé les dettes auprès de sa famille. Le père de Frantz a tout fait pour le rendre heureux, dépensant énormément et il a tout perdu. Yvonne lui expliqua que s’il revenait et se mariait avec sa fiancé, peut être que tout redeviendrait comme avant. 

Approchant de là où se trouvait Bélisaire, ils l’entendirent excité par l’avoine qu’on lui donné, c’était entortillé avec le son lien. Delouche et Mr Galais essayaient de le libéré mais empiraient la situation. Meaulne arriva à ce moment là et s’énerva de voir les deux maladroits, et les poussa violemment et libéra le cheval, mais le mal été fait, le cheval avait un nerf foulé ou un os cassé, la tête basse. Il examina le cheval et hurla qui avait bien pu monter ce vieux cheval et lui laisser sa selle toute la journée. Mr Galais voulu expliquer, mais Meaulnes ne le laissa pas terminer, loin de se calmer, il conseilla de ramener le cheval immédiatement aux écuries et de ne plus jamais l’en sortir. Yvonne pris le cheval prête à fondre en larme, et parti avec son père. 
C’est ainsi que se termina cette journée, avec une énorme déception de la part de tous les invités qui rangèrent l’endroit et partirent. Meaulnes,  qui devait rentrer avec l’oncle Florentin, les yeux plein de larmes l’avertit qu’il rentrerait à pied, il courut au domaine “Les sablonnières” et en larme, demanda Mlle Galais en mariage. 

Chapitre XII Le jour des noces

Ils se marièrent cinq mois plus tard, un jeudi de début février, à midi, dans la chapelle de la Sablonnière. Mr Seurel, Milie, Florentin, Delouche, et les autres, tous étaient présent pour ce mariage silencieux. Au cours de ces cinq dernier mois, Delouche est devenue entrepreneur, il travaille avec son oncle comme maçon au Vieux Nançay et reprendra bientôt l’entreprise. Meaulnes est très gentil avec lui, comme lui a demandé Yvonne. François est devenu instituteur à Saint Benoist des Champs, ce n’est pas un village, c’est un ensemble de ferme disséminées un peu partout, il est très isolé. 
Ce soir du mariage, Delouche et François observe la maison au volet clos puis entendent un son… 

Chapitre 8 L’appel de Frantz

Le son était le signal de l’appel de Frantz, lui et ganache était revenu, habillés de guenille, et remplis de boue. Frantz souhaitait que Meaulnes viennent l’aider à retrouver son amour, il lui en voulait d’avoir trouvé le sien et de l’avoir oublié. Il souhaitait qu’il le suive pour partir le chercher.
François arriva à le convaincre de partir et revenir dans un an pour lui demander de le suivre dans son aventure pour laisser Meaulnes et sa soeur être heureux. 

Le rendez vous fut pris, et au moment de partir, il vit Augustin fermer les volets avec une étrange allure… 

Chapitre 9 Les gens heureux

Au même moment, à l’intérieur, le père d’Yvonne partit en ville et laissa les deux jeunes gens seuls. Meaulnes mis une bûche au feu, Yvonne joua au piano et lui montra quelques photos de son frère et elle petits. 
Meaulnes partit fermer les volets et commença à s’enfuir, mais François l’appela en lui disant que Frantz était venu et qu’il lui avait donné rendez vous pour dans un an. Meaulnes déçu lui dit qu’il pouvait le rendre heureux, qu’il avait le bonheur de Frantz entre ses mains, mais Yvonne qui eut peur de sa disparition, couru vers lui, tomba, les yeux en larmes et il la ramena à la maison. 

Chapitre 10 la maison de Frantz

François revint tous les soirs après l’école, voir s’il croisait son ami Meaulnes, il avait un mauvais pressentiment, qui lui donna raison, un dimanche Mr Galais lui dit que le jeune marié était parti le vendredi matin pour un long voyage, et qu’il ne savait pas quand il rentrerait. Yvonne était malade depuis.
Il revint souvent après l’école et Yvonne après quelque jours, triste, fatiguée, mais se levait et ils partaient promener. 
Un jour, elle l’amena, dans la maison de Frantz, que son père lui avait fait pour qu’il se retrouve seul, et lui et ses amis entretenaient le jardin et la maison lorsqu’ils étaient jeunes. Maintenant le jeudi et dimanche, d’autre jeunes des environs venaient à la grande joie d’Yvonne qui imaginaient être des amis de son frère, François l’écoutait, la conseillait, et la soutenait. Des mois se passèrent sans nouvelles de son mari. 

Chapitre XI Conversation sous la pluie

François passa ses deux mois de vacances à Ste Agathe chez ses parents, son père à la pêche sa mère en train de coudre, sa mère lui demandait des nouvelles de la jeune mariée, elle allait accoucher en octobre. Il écourta son séjour et rentra 4 jours avant la rentrée à St Benoit. Dès qu’il fut arrivé , il partit promener vers les Sablonnière, et discuta avec Yvonne, qui lui confia que le lendemain de ses noces, elle dit à Augustin qui n’était pas heureux, que s’il devait partir  car elle ne le rend pas heureux et qu’il revienne quand il sera apaisé, elle lui demandait de partir. François pensait que Meaulnes aimait plus les aventures que la vie de couple, Yvonne n’avait toujours aucune nouvelle de lui. 

Chapitre XII Le fardeau

C’était samedi soir, l’école devait reprendre le lundi, une dame vint prévenir François qu’Yvonne avait accouché d’une petite fille, l’accouchement c’était très mal passé, il avait fallu faire venir le médecin qui tira la petite avec les fers, la tête était déformée la petite avait été blessée. Mr Galais était ravi. 
François revint le dimanche midi, l’ambiance avait changé, la petite était blanche, elle avait failli mourir dans la nuit et la mère était mal en point, le médecin lui parla de congestion pulmonaire d’embolie, Mr Galais avait vieilli en deux jours, tremblant. Yvonne était rouge sang, ses yeux révulsées, elle se battait contre la mort. Elle voulu parler à François regardant la fenêtre, mais ses yeux révulsèrent. 
Il ne savait pas quoi faire, il finit par rentrer chez lui, et le lendemain, un enfant lui apporta que la dame des Sablonnière était décédée dans la nuit, il annula le cours de la matinée, et parti au domaine, il n’était pas en état de faire cours.
Le cercueil ne pouvait passer de sa chambre à en bas, Mr Galais refusait de la faire sortir par la fenêtre alors il proposa de la porter jusqu’en bas, dans ses bras, mais François, prit pitié et la pris, et alors qu’il la portait, ce poids lourd à son coeur, était tout ce qui restait de l’aventure du grand Meaulnes, une femme tant désirée. 

Chapitre XIII Le cahier de devoir mensuels

Le père d’Yvonne mourut l’hiver d’après, il s’était vite affaibli après la mort de sa fille. Il avait fait de François le légataire universel en attendant le retour de Meaulnes s’il devait revenir un jour. 
François s’installa donc au Sablonnière pour être là pour la petite dont les nounous s’occupaient et au cas où son ami reviendrait. Il allait à St Benoit pour donner cours seulement. Il cherchait toujours des indices, des traces d’où il pourrait trouver Meaulnes. Il trouva un jour dans le grenier, une malle qu’il ouvra où se trouvait des affaires de son ami, il prit un cahier de devoir qu’il lit. 

Chapitre XIV Le secret

Dans ce cahier était écrit son aventure à Paris pour rechercher Yvonne. En allant chaque soir devant l’immeuble où Yvonne faisait un séjour, il y rencontra une fille qui faisait comme lui, attendre devant sur un banc. Cette fille du nom de Valentine, lui proposa un jour de sortir et de se revoir, Il était attiré par elle, elle lui raconta à son tour l’amant qu’elle avait refusé, et qu’elle aimait encore. 
Il demanda en mariage Valentine, ils préparèrent le mariage, et Meaulnes partit pour suivre son aventure . 

Chapitre XV Le secret

Ils avaient fait un séjour à la campagne, où Meaulnes faisait passer Valentine pour sa femme. Elle parlait souvent de son ancien amant, rêveur, qui lui avait promis maison toute prête isolées, de la folie de ce qu’il racontait, Meaulnes l’écoutait, semblant connaître l’histoire, et un jour, elle lui donna les lettres de son ancien amant, Il reconnut immédiatement l’écriture de Frantz, et la disputa, c’était à cause d’elle toute cette triste aventure. A cause de Valentine qui n’avait pas voulu donner une chance à Frantz, Meaulnes avait perdu Yvonne et pire avait pris la fiancé de Frantz sont meilleure amis son frère. Il ne voulut plus jamais la revoir, et elle partit, il lui écrivit pour lui expliquer pourquoi il ne valait mieux pas qu’ils se voient. 

Chapitre XVI Le secret (fin)

Meaulnes s’en voulut d’avoir jeter Valentine et l’avoir peut être même mené à sa perte. Il tenta de la retrouver en allant à Bourges où sa mère lui dit qu’elle était repartit depuis dix jours sur Paris avec sa soeur, mais dont elle ne donnerait pas l’adresse de ses filles. 
Il était rentré chez lui pour préparer ses affaires, et c’est là que François était arrivé pour lui faire rencontrer Yvonne, et qu’il avait tout lâché pour la revoir. Mais le soir du mariage, au signal de Frantz, la culpabilité de son malheur, il se promit de revenir vers Yvonne que le jour où Frantz et Valentine serait marié. 

Chapitre XVII Épilogue 

Un matin François se leva tôt pour partir à la pêche avec ces amis dont Delouche. Il vit un homme barbu arriver, il était tôt pas encore tout à fait jour, il ne le reconnu pas de suite, c’était Meaulnes. Il devina la mort D’Yvonne, en fut peiné et François lui montra sa fille. Meaulnes heureux la pris, et François parti, il savait que son ami était venu reprendre sa fille pour l’amener vers d’autres aventures, il était peiné, car il l’avait imaginé s’en occuper. Meaulnes avait ramener le couple Frantz Valentine, qui vivait dans la maison où jadis Yvonne avait amener François

RÉSUMÉ

François est fils d’instituteur, il vit à Ste Agathe. Un jour arrive un jeune homme qui sera son compagnon de jeu et d’aventure tout au long du livre, Le grand Meaulnes, appelé comme cela à cause de sa taille. Il vivra quelques mois chez François, un soir en voulant récupérer les grand parents de ce dernier, il se perd sur la route enneigé et froide. Il arrive à un domaine mystérieux où se passe une fête pour le moins étranges, des noces. C’est là qu’il rencontre Yvonne, dont il tombe amoureux, et est témoins de a fugue de Frantz son frère.  Les noces étaient celles de Frantz, dont la fiancé refusa de l’épouser car elle en aimait un autre. Meaulnes repartit chez François et commença l’aventure pour retrouver Yvonne. Il revut Frantz, devenus bohémien, vivant sur les routes, pauvre , n’ayant plus rien et ayant essayé de se suicider par tristesse, qui lui avoua que sa soeur vivait à Paris. Meaulne partit sur Paris, de long mois il attendit devant l’immeuble sa bien aimée, il n’était pas seule, une fille aussi attendait du nom de Valentine, et lui expliqua que la fille s’était mariée, une histoire entre eux commença. En parallèle, Yvonne n’avait pas été mariée, c’était la grande tante de François, Moinel qui lui avait menti. La jeune fille était toujours amoureuse de Meaulnes, François la revit et partit avertir Meaulnes qui l’épousa. Frantz voyant Meaulnes Heureux, lui demanda de chercher son amour. Meaulnes le lendemain du mariage, partit et se promit de ne revenir que lorsque les deux seraient mariés. Il laisse Yvonne seule pendant des années sans nouvelle, elle se confia à François, elle accoucha d’une fille et mourut, son père dont le départ de Frantz l’avait ruiné, mourut aussi. François s’occupa de la petite tout en continuant ses recherches de Meaulnes. 
Lorsque la petite avait un an, il revint enfant, avec le couple Frantz Valentine, et appris la mort de sa bien aimé, mais fut heureux de voir sa fille, qu’il amènerait surement dans d’autres aventures. 

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